6 réflexions sur « My name is Kaa »

  1. Eh bé!

    Alors que ce serpent verdoyant ne m’avait inspiré qu’une banale question de politique internationale, je reste bouche bée pour ne pas dire « sur le cul… » (mais là, Philippe dirait que je suis plus intéressé aux maisons closes qu’aux couverts des restaurants ouverts) devant la richesse et la pléthore des commentaires bien informés de Paddy qui, effectivement, méritaient bien publication, même en doublon!

    Je me réjouis d’y apprendre que la Rive Nord, avec ses grands noms: avenue Foch, bois de Boulogne, Pigalle, Saint-Denis, Provence, Bastille (Lily peau de chien qu’on aime bien), etc. n’a pas le monopole des quartiers mal femmés!

    Sacré Paris!

    Même les Germanoprates se font prendre les culottes baissées en sortant de chez Lip!

    Dommage que ma brioche soit tombée sur ma baguette!

    C la faute aux restos trop souvent ouverts et aux maisons closes fermées pour toujours!

    Le propriétaire du Bordel’O! (Bassin de Chambly, Qc.)

  2. Ouf! J’ai rien bidouillé. Mes commentaires ont peut être été analysés quelque part.

  3. Curieusement, ou du moins inexplicablement, les deux commentaires disparus viennent d’ apparaître dans la petite boite. Tu as dû bidouiller les câbles.

  4. Monsieur le Rédacteur en Chef,
    De retour hier soir d’une promenade hautement culturelle sur les traces des nombreux peintres venus en Bretagne pour perfectionner leur art et après une baignade revigorante dans une eau fraîche et limpide sur la côte au Pouldu où passa jadis Paul Gauguin quand il eut marre des galettes de Pont-Aven, je suis rentré pour découvrir la photo d’un reptile se prénommant Kaa et une question à laquelle j’ai répondu immédiatement: mon nom est Paddy, un nom respectable aux connotations irlandaises et à l’odeur du whisky éponyme. Or, je découvre ce matin que mon commentaire, à tout le moins brillant, ne figure pas dans vos colonnes. J’en suis contrit et me voit dans l’obligation de le restituer de mémoire ce qui n’est pas toujours aussi bon qu’un ragout de la veille réchauffé lentement. Enfin, voilà! Mon nom est bien Paddy, mais de quel Kaa s’agit-il sur la photo? De par le monde, des Kaa particuliers, il y a beaucoup. (Voyez comment la lecture quotidienne du JDC m’apprend à soigner mon style). Dans le microcosme de la rue Mouffetard par exemple, on retrouve tous les archétypes de la Kaanaille qu’attire la présence au numéro 122 d’une Maison de confiance, emplie de tolérance comme sa voisine au bas de la rue, la Maison de Saint-Médard, est emplie de tempérance. On croisera par exemple rue Mouffetard KaaTastroff le mac russe ex KGB au sang rouge, jouant aux dés avec son ami Kaa Tapult le finlandais au sang froid ses protégées qui tapinent non loin de là, Kaa La Miteuse, Kaa Stafiore et Kaa Ta Rina la slave au savon de marseille, toutes d’ex pensionnaires du 122 rejetées à la rue par la patronne, l’irascible maquerelle espagnole Kaa Nivo. Plus loin, on remarquera forcément le vénérable Kaa Ta Shu Men le chinois au sang jaune, alors qu’au bout de la rue on croisera Kaa de Force Majeure des Bas Fonds de la Rue, végétant là, un aristocrate vendéen au sang bleu pur jus, rejeté par ses Paires (et même par sa mère) du très sélect Jockey Club, discutant avec Kaa R’touche Pas O’Grisby un tonton flinguer new yorkais pourvoyeur d’une schnouff Blanche de qualité supérieure à tous les bourgeois du 5ème arrondissement. Et puis il y a la belle, la très belle, Adriana Kaa Rembeu qui remonte la rue perchées sur ses longues gambettes qui n’en finissent pas (mais on me dit qu’elle a changé de nom, elle n’est plus une Kaa) sous les yeux concupiscents du barbier breton Kaa Tolic à la porte de son salon et du terrible butteur algérien Kaa Rim Ben Zema venu se faire raser la tête mais pas la barbe. Le beau monde grouille rue Mouffetard, pêle-mêle: Kaa Timini l’italien, Kaa Talepsy le grec, Kaa Cao le portugais, Kaa Out Chouc le malaisien (un élastic qui fait mal aux doigts – aie – quand il pète), Kaa Stelgandolfo le papiste, Kaa Lifaat le gros turc fainéant, etc, etc, et j’en passe et des meilleurs. Alors, lequel des Kaa?

  5. Le mien c’est Paddy. Mais de quel Kaa s’agit-il? car de par le monde, de Kaa, il y a beaucoup (j’apprends dans la lecture régulière du JDC!). S’agit-il de:
    Kaa Tastroff, le Russe au sang rouge,
    ou
    Kaa Lifaat le Gros Turc
    ou bien
    Kaa Tolic le Breton au sang salé
    ou encore
    Kaa de Force Majeure l’aristocrate charentais au sang bleu
    ou peut-être
    Kaa Ta Chou Men le Chinois au sang Jaune
    et pourquoi pas
    Kaa La Miteuse ou Kaa Stafiore si c’est une femelle (rien ne l’indique)
    j’en connais encore beaucoup car les Kaa particuliers sont partout: Kaa Stelgandolfo le papiste, Kaa Nivo l’Espagnol au sang chaud, Kaa Lomnie l’Italien, à moins que ce soit Kaa Timini, Kaa Sao le Portugais, Kaa Tapult le Finlandais au sang froid, sans oublier Kaa Talepsy le Grec, et bien sûr Kaa Out Chouc le Malaisien élastique… J’arrête là, les Kaa c’est pas comme le seul et unique Ducon, ils sont nombreux les bougres.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *